Idéologie, point de vu orienté

La liberté des un.e.s fait le malheur des autres. Et selon que l'on est d'un côté ou de l'autre, les lois nous sont favorables ou injustes.

Et c'est par cette élasticité que nous adhérons au principe de reproduction sociale, que nous reproduisons malgré-bon gré des coutumes et habitus.

La clandestinité n'est pas toujours un choix, l'on peut naître sous un régime d'occupation ( qui nie ou encourage ses billais culturels, les renforce comme "naturels" ) : une occupation esthétique permanente, diffuse qui { s'il on y adhère, si l'lon est du bon côté de la barrière } nous échappe comme "idéologie".

"Idéologie", signifie dans la bouche de mes contemporains que celui qui en use ignore que son point de vu est situé, subjectif, qu'il lui appartient. Ce qui a pour effet de disqualifier -son propos, -sa thèse dès lors désignée comme étant invalide ou tenue avec des motivations cachées-indirectes ( profitant à une minorité de semblables, certains d'avoir la majorité objective ) [...] .

L'idéologie échapperait au pragmatisme concret. Dire-penser de l'Autre que il.elle fait de l'idéologie, c'est nier la particularité effectivement subjective de son propos situé, orienté.